Indemnité journalière pour les salariés en arrêt maladie
Il n’est jamais trop prudent de vouloir se souscrire à une assurance pour être indemnisé en cas d’arrêt maladie surtout à cause des accidents professionnels. Signer un contrat d’assurance est parfois une simple idée dont on ne connaît pas vraiment de quoi il retourne. Existe-t-il des conditions pour pouvoir bénéficier d’une indemnité ? Est-ce que tous les salariés ont-ils droit à cette faveur ? Comment l’assurance agit-elle dans ce genre de situation ? Trois questions qui chagrinent la plupart des salariés pendant leur souscription. Pour éviter de trop nous attarder dans les procédures, nous allons fournir quelques informations qui pourraient vous être utiles dans cet article.
Qu’est-ce qu’une indemnité journalière ?
Premièrement, il faut savoir que l’assurance n’intervient de cette manière que lorsque le salarié est en arrêt maladie pour accident de travail. Le taux d’indemnisation varie en fonction de la situation salariale du salarié, de son statut professionnel et du temps de l’arrêt maladie. C’est une sorte de compensation pour aider la victime dans ses soins médicaux et qui seront seulement versés après les trois jours de carence obligatoire non indemnisée. Une infime information vous identifie comme étant un salarié qui vous offre la chance de pouvoir bénéficier d’une indemnité journalière, mais bien sûr dans certaines conditions. Le médecin pourrait vous assigner un repos de plusieurs jours à domicile ou à l’hôpital, la somme qui vous sera octroyée ne changera pas sauf par rapport à des clauses particulières dans le contrat d’assurance maladie. En cas d’hospitalisation, cette page vous aidera à comprendre le fonctionnement de votre assurance.
Comment ça marche les indemnités journalières ?
Avant de souscrire à une mutuelle, l’intéressé est dans le besoin de comprendre comment cela fonctionne réellement. En effet, ce n’est pas un crime de vouloir en savoir plus dans ces cas-là. Premièrement, il y a certaines conditions à respecter pour pouvoir bénéficier d’une aide de la part de votre assureur. Vous devez être inscrit à la CPAM et fournir une pièce justificative provenant du médecin traitant affirmant votre arrêt maladie. Il est bien évidemment clair qu’ici, on parle de salariés.
L’assurance doit prendre en compte certains critères pour évaluer la somme à verser. D’abord la durée de l’arrêt maladie. Cela peut être moins de trois mois ou plus de six mois, en fonction du diagnostic du médecin et de la guérison de la victime. Elle repose également sur le revenu du salarié évalué sur les six mois avant le sinistre. Si la durée de la convalescence dure plus de 6 mois, l’ancienneté va entrer en cause. Le salarié ne pourra pas bénéficier d’une indemnité journalière à moins d’avoir été en service pendant plus de 12 mois et avoir été tout ce temps inscrit à la CPAM.
Les démarches à suivre pour bénéficier d’une indemnité journalière
Pour que l’assurance puisse verser la somme qui vous est due, il faut que vous déposiez une déclaration attestant votre arrêt maladie auprès de la CPAM, et ce, dans les 48 heures après le diagnostic du médecin. En cas de retard répétitif, la CPAM a le droit de suspendre, de modifier ou même d’arrêter définitivement votre part d’indemnité. Le non-respect de l’éthique proposé par l’assurance pourrait aussi vous faire dispenser d’une indemnisation.