Santé mentale : se mettre au vert deux heures par semaine
Pour se sentir en parfaite santé mentale et physique, il est recommandé de profiter des bienfaits de la nature. La durée par semaine est d’au moins 120 minutes pour chaque semaine. Des scientifiques ont démontré qu’en dessous, cela n’est bien bénéfique.
Une étude scientifique à la base
Cette étude sur les bienfaits de la nature sur la santé mentale s’est basée sur les données recueillies chez plus de 20 000 personnes. Le seuil de bienfait est à partir de 120 minutes. Cette durée peut être atteinte en une visite unique ou en des visites multiples plus courtes. Le seuil de 120 minutes s’applique aussi bien aux hommes, aux femmes, aux jeunes, aux adultes âgés ou non.
Se mettre au vert permet de profiter des bienfaits de la nature tous les jours en pratiquant une activité de son choix. Les visites en nature qui sont réalisées dans le cadre de l’étude scientifique sur les bienfaits des espaces verts sur la santé mentale se sont déroulées non loin des domiciles des participants. Il est conclu que se rendre au niveau des espaces verts urbains ou locaux participe à une meilleure santé mentale mais préserve également ces lieux.
2 heures à passer par semaine dans la nature constitue un objectif bien réaliste pour plusieurs personnes. Ce temps peut être réparti sur toute la semaine afin de tirer plus de profits. Cette routine quotidienne peut être ramenée à un temps précis de 18 minutes dans la nature. Il a été démontré par la suite que vivre au niveau d’un quartier plus vert favorise la santé mentale. Cela permet une réduction sensible de la pollution atmosphérique. Laquelle est à la base des soucis de santé à partir du plus jeune âge.
Les impacts de la nature sur la santé mentale
Les chercheurs ont démontré qu’une balade de 90 minutes en pleine nature impacte de manière positive le cerveau humain. C’est donc une très bonne raison pour se mettre résolument au vert.
La simple balade est capable de faire du bien à la santé mentale, de booster la productivité et impacter positivement la créativité. L’action vient de la vitamine G. Cette vitamine G du nom de « green » est consommée au quotidien par l’homme. Le contact permanent avec la nature assure une meilleure santé physique. Et les enfants sont plus concentrés.
L’impact des espaces verts et de la nature sur la santé mentale et sur les émotions se confirme au fil des études. On comprend mieux l’adage qui exige qu’on prenne de l’air afin de se changer les idées. On est plus attentifs et performants en retour.
Les enfants en contact avec la nature ont une nette augmentation de la mémoire de travail. Les écoliers sont plus attentionnés s’ils sont en contact croissant avec la nature. Une marche d’une durée de 20 minutes par exemple dans un parc châtie la concentration des enfants. Ils doivent être encouragés pour jouer de manière régulière dans des environnements verts. Les environnements bétonnés entraînent des troubles sévères.
Pour conclure, passer deux heures par semaine dans la nature aurait des vertus sur le bien-être des hommes. Cela rend le cerveau plus productif et créatif. Les effets anti-déprime sont réduits voire anéantis au contact avec la nature.